Des actifs traditionnels en perte de vitesse
Investir dans l’immobilier revient avant tout à rechercher un rendement locatif tout en limitant les risques. Jusqu’à récemment, les actifs « prime » tels que les bureaux et les commerces constituaient le socle des portefeuilles d’investissement. Cette approche s’inscrivait dans la stratégie « cœur/satellite », où des actifs alternatifs, comme ceux liés à la santé, jouaient un rôle complémentaire.
Cependant, les bouleversements structurels du marché, amplifiés par une rapide hausse des taux d’intérêt entre 2022 et 2023, ont inversé la donne. Le marché du bureau, particulièrement en Île-de-France, a été fortement touché par cette crise. L’essor du télétravail, qui redéfinit les besoins des entreprises en termes d’espaces, a aggravé la situation. Résultat : une dévalorisation marquée des actifs soumis aux cycles économiques comme les bureaux, la logistique et les commerces.
Immobilier de santé : une résilience face aux crises
Dans ce contexte d’incertitudes, les actifs de santé se distinguent par leur résilience. Acycliques par nature, ils sont peu sensibles aux fluctuations économiques et ont maintenu leur valeur. Cette stabilité s’explique par des besoins structurels croissants dans le secteur de la santé. L’hébergement de santé et les structures associées aux soins (maison de santé…) sont les plus concernés.
Le vieillissement de la population en France illustre parfaitement cette dynamique. En 2024, on estime que plus de 2 millions de personnes seront en situation de dépendance selon une étude du Haut-Commissariat au Plan en 2023. Cela génèrera une demande croissante en matière de soins, d’accompagnement et d’établissements d’hébergement pour personnes âgées.
Face à un secteur public sous pression, les opérateurs privés jouent un rôle crucial. Ils offrent des opportunités d’investissement robustes et à long terme.
Une stratégie internationale pour maximiser les opportunités
Les atouts des SCPI de santé
L’immobilier de santé ne se limite pas à l’hexagone. À l’international, les baux sont souvent bien plus longs qu’en France, où la norme des baux commerciaux est de type « 3-6-9 ». Dans certains pays, les engagements locatifs peuvent atteindre jusqu’à 30 ans fermes. Cela renforce la visibilité et la stabilité des revenus pour les investisseurs.
Depuis plus de 10 ans, notre SCPI Pierval Santé se positionne comme un acteur clé de ce secteur. La SCPI de santé diversifie ses investissements dans plusieurs pays européens et au Canada. Elle offre ainsi à ses associés une stratégie fondée sur la préservation du capital et la maîtrise des risques.
En plus de leur résilience, les actifs de santé offrent des rendements stables mais non garantis dans un marché en pleine croissance. Il est important de rappeler que l’investissement en SCPI comporte des risques, notamment une perte en capital, une liquidité limitée et l’absence de garantie sur le capital et les revenus.
Pour en savoir plus sur les caractéristiques et les risques associés à la SCPI, consultez les documents disponibles sur la page Pierval Santé avant toute décision d’investissement.
Avertissements
Investir en SCPI comporte un risque de perte en capital. Il s’agit d’un investissement de long terme pour lequel la liquidité peut être limitée et dont le capital et les revenus ne sont pas garantis. La SCPI est soumise à d’autres risques tels que notamment le risque de change, de durabilité et le risque lié à une gestion discrétionnaire. Pour prendre connaissance des risques veuillez consulter le DIC et la note d’information de la SCPI disponibles ici.